Alors que le grand-prix effaçait petit à petit ses traces en Principauté, un choc a durement ébranlé le Rocher, agitant la communauté dans ses tréfonds les plus reculés. Le célèbre restaurant le Castelroc sur le Rocher, en face du Palais, a été secoué mercredi dernier d’une violente explosion. La théorie de la fuite de gaz a rapidement été avancée, afin d’éteindre le potentiel incendie médiatique. Malheureusement, les aficionados des films fantastiques savent que la « fuite de gaz » est l’excuse la plus utilisée par le FBI et les autorités pour couvrir des dégâts dont l’origine est bien trop effrayante ou incompréhensible pour le commun des mortels.
Ainsi il semblerait que, comme bien souvent, la vérité dans cette sombre affaire soit ailleurs. Les spécialistes du MCIS6 (Monaco Central Intelligence Service), cette explosion serait la première d’une série estivale prémices d’un conflit séparatiste entre les indépendantistes du Rocher et les rebelles de la commune libre des Moneghettis. Et pourtant, il semblerait que d’autres informations rendent l’affaire encore plus dramatique. Nos sources contradictoires sont formelles : un missile russe aurait probablement été lancé dans les cuisines du Castel Roc afin de dissuader la Principauté d’adhérer à l’OTAN. Et ce suite aux déclarations de Poutine vilipendant la proximité du territoire monégasque avec l’enclave soviétique du Cap d’Antibes. Ainsi, la prochaine cible de l’URSS après le Dombass serait bel et bien la Principauté.