À l’instar d’une coupe du monde ou des Jeux olympiques, l’affaire du coronavirus a vampirisé l’intégralité du temps de cerveau disponible de l’ensemble de la population, pendue devant leurs écrans à attendre
À l’instar d’une coupe du monde ou des Jeux olympiques, l’affaire du coronavirus a vampirisé l’intégralité du temps de cerveau disponible de l’ensemble de la population, pendue devant leurs écrans à attendre