L’annonce fatidique est tombée hier, laissant des dizaines de personnes dans un état profond de détresse et d’affliction.

C’était dans l’air : après la suppression du masque partout, sauf dans les transports, il ne restait plus au Gouvernement qu’à réduire la voilure de sa communication. Ce qui a été fait dès hier soir, avec l’arrêt de la communication quotidienne des statistiques liées à la prolifération de la COVID -19. « Cette manœuvre a malheureusement pris plus de temps que le reste de nos opérations, nous a détaillé l’un des responsables, car nous devions tenir compte de l’impact qu’allait avoir cette suppression sur la population, surtout sur celles et ceux qui en avaient fait leur rendez-vous quotidien, un véritable sacerdoce. »
C’est ainsi qu’en marge de cette suppression, une véritable cellule psychologique a été mise en place, des experts à l’écoute de ceux qui se retrouvent sans la possibilité de poser leur commentaire désagréable quotidien. « La pression sociétale est atroce… On m’obligeait à aller sur Facebook, puis à chercher la page du gouvernement, puis à lire ce post quotidien pour ensuite écrire un message dénonçant le vaccin ou le port du masque obligatoire… » nous explique Michel, un commentateur pathologique, avant de conclure « si je ne le faisais pas, je me sentais vide… que vais-je faire maintenant , à quoi va ressembler ma vie sans ça? ». Nos sources contradictoires nous ont fait savoir qu’un psychologue spécialisé dans les conséquences du syndrome de Stockholm devrait se joindre rapidement à cette cellule gouvernementale.
Catégories :Santé
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