Coup de tonnerre à la Mairie de Monaco : un Monégasque a demandé la reconnaissance officielle de son genre « Licorne genderfluid ». Selon lui, il ne s’agit « ni d’un caprice ni d’un conte de fées », mais d’une « affirmation identitaire galopante ».
Une Mairie prise de court
Le fonctionnaire, croyant d’abord à une blague potache, a vite déchanté en découvrant un dossier de 47 pages, accompagné d’un certificat vétérinaire et d’un arc-en-ciel holographique en guise de signature.
L’officier d’état civil a tenté d’enregistrer la demande… avant que le système ne plante, affichant : « Erreur 404 : arc-en-ciel non homologué. »
Face à la confusion, la Mairie a saisi le service des passeports du gouvernement, chargé des documents officiels. Ce dernier a évoqué une « incompatibilité logicielle », le champ genre ne permettant actuellement pas l’identification des créatures magiques.
Entre humour administratif et tension diplomatique
L’affaire a rapidement pris de l’ampleur : selon nos informations, le gouvernement envisagerait de saisir le Comité des Droits Mythologiques de l’ONU. La Principauté redoute déjà un effet domino, craignant une avalanche de requêtes similaires : « semi-dragon », « sirène occasionnelle » ou encore « griffon saisonnier ».
Dans les couloirs de l’administration, on s’interroge : faut-il adapter les formulaires… ou créer une écurie administrative pour les cas spéciaux ?
Contacté par nos soins, l’Archevêché n’a pas souhaité se prononcer, mais assure « suivre l’affaire d’un œil à la fois bienveillant et légèrement suspicieux ».
En attendant, l’intéressé garde la tête haute et la corne brillante :
« Je ne veux pas de privilège, seulement que ma carte d’identité brille un peu plus que les autres. »